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Ce n'est qu'un Rêve
23 novembre 2008

Comment dire....

CSC_0574   

( la seule fois que je remerci ma mère : merci d'habiter un si beau paysage )

Je n'essayerais rien, non, rien du tout. Tu ne te rend pas compte que je t'aime bien plus que la façon qu'on a de ce le dire ? Mais je pourrais mourir pour toi ! T'en rend tu compte ? Te rend tu compte de l'importance que tu as ? Est-elle trop grande, amour ?
    Je ne comprend plus aucunes réactions, désormais je veux me fermer, pour ne pas comprendre. Je suis découverte par le 8, je ne veux aucunes révélations .

Dit moi, m'aime tu ? Suis-je en droit d'en douter ? Non, non tu vas me répondre, mais je ne veux pas de ce non cette fois, je veux des mots. Des mots. Ceux qui resonnent, qui frappent et qui expliquent. Je veux que tu me dise, en quoi je ne pourrais en douter, comment me montre tu que tu m'aime, je veux savoir, voir et comprendre enfin, car c'est ce manque d'explication qui me perd.
Parle, mais je t'en suplie parle. J'implore. Oh non, ce n'est pas toi que j'implore, mais ceux à quoi je me ratache, pour croire que tu me le diras un jour. Une fois, une seule, j'ai voulue te quitter. Une seule. Pauvre. Mais je ne l'est jamais fait, car je t'aime au plus profond de ma chair, c'est écrit sur mes os, mon corps en est a jamais le témoin. Je te demande, une seule fois. Une fois. Dit moi, explique moi, parle moi. Suis-je donc avec un inconnu depuis tant de mois ? Nous somme d'une différence et d'une similitude infernale. Gris contre gris. Froid.

J'ai froid, surement car je ne dors plus. Je ne me sens bien q'en tes bras. Qu'en toi, avec toi. Ce n'est pas une preuve ? Ce ne doit pas en être une.

Il fait froid, mais cela ne change pas ton visage, flottant, dans ma tête, car tu n'est pas là, il flotte, et encore une fois je nage. Je t'aime, plus que tout, je t'aime dans cet océan de penser, de maux de tête. Je t'aime dans mon incompréhension, dans mon illétrisme de toi même. Je te connais, sans te connaître. Mais, jamais, ô grand jamais, je ne veux te perdre.


Je t'aime, plus que tu ne le pense, plus que tu ne le dit, plus que ces mots, idiotie.

J'en veux a la langue d'avoir banalisé de tels pensés.




(après relecture, la fin du texte peut s'adresser a deux personne, celle voulue, et son opposé mental et physique)



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Ce n'est qu'un Rêve
  • Rien est a dire, tout a convoité. Me voilà dans les bras de l'éternel inconnu, du monstre de la faiblesse, de l'agonie des mots. Et ma plume se perd, tel un oiseau dans l'azur, ivre d'une liberté que je ne connais plus.
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